diumenge, de setembre 30, 2007

Resistència

Després del que hem escoltat i vist amb na SULTANA JAYA, cal pensar i reorientar. La gent del Sàhara Occidental ocupat pel Marroc, es mereix més atenció. Evidentement sense oblidar els refugiats dels Campaments de Tindouf. Uns i els altres son com 2 cares de la mateixa moneda, son víctimes del colonialisme i l'imperialisme marroquí.
Des de aquí, em comprometo a donar més difusió a la lluita dels militants sahrauís de les associacions que lluiten contra les violacions als drets humans al Sàhara Occidental. Una difusió que fins ara sols portava al meu blog situat a la blogosfera francesa: Sahara i en el que he anat publicant tot allò que m'arribava, sobretot en llengua francesa.
TRAB EL BIDAN, també es farà ressò de les notícies que arribin del Sàhara Occidental ocupat pel Marroc.
A la RESISTÈNCIA, també s'hi arriba a través de la informació. Cal més compromís amb aquesta resistència, amb la lluita de tots aquells lluitadors sahrauís que no dubten en posar en perill la seva vida, per tal de fer prevaleixer la veritat, els drets de les persones i el del seu poble a decidir el seu futur. El seu dret a construir un país LLIURE i INDEPENDENT: El Sàhara Occidental.
Ara us deixo amb Daha Rahomuni, de l'ASVDH, que va portar les violacions als drets de les persones i les que afecten al Sàhara Occidental a l'Oficina Internacional pel Respecte dels Drets de l'Home al Sàhara Occidental

Daha Rahmouni: Membre de l’Association Sahraouie des Victimes des Violations Graves des droits de l’Homme Commises par l’Etat du Maroc .ASVDH.
Je tiens, en premier lieu, à remercier le Bureau International pour le Respect des Droits de l’Homme au Sahara Occidental (BIRDHSO) ainsi que toutes les organisations non gouvernementales des droits de l’Homme ici présentes pour leurs inlassables efforts déployés pour promouvoir le respect des droits de l’Homme au Sahara Occidental, secourir les défenseurs sahraouis des droits humains, faire la lumière sur le sort des centaines de disparus sahraouis et obtenir la libération de tous les prisonniers de conscience sahraouis.
Daha RAHMOUNI : Je suis membre de l’Association Sahraouie des victimes des violations graves des droits de l’homme commises par l’Etat marocain (ASVDH), une association qui, à l’instar d’autres associations et organisations sahraouies des droits de l’Homme, a été arbitrairement empêchée par les autorités marocaines d’exercer ses activités pacifiques en faveur des nombreux disparus et prisonniers politiques. Soucieuse d’exercer ses activités pacifiques au grand jour et en conformité avec la loi, l’ASVDH a présenté une demande de légalisation en bonne et due forme aux autorités marocaines qui n’a jamais pu aboutir car, comme le relève Amnesty International dans un communiqué rendu public, le 08 mars 2007, « la procédure n’a pu être achevée en raison de ce qui apparaît, manifestement, comme une suite d’obstacles administratifs à motivation politique ».
La liberté d’association et d’expression, le droit à des procès équitables pour les accusés, l’indépendance et l’impartialité de la justice qui sont, entre autres fondements, les caractéristiques de l’Etat de droit, sont des droits déniés aux Sahraouis dont le pays, le Sahara Occidental, a été illégalement occupé par une puissance étrangère, le Royaume du Maroc.
Depuis l’occupation du Sahara Occidental par le Maroc, les violations des droits civils et politiques commises par celui-ci ont contribué au climat de grande frustration qui s’est installé au cours de ces décennies. Les souffrances, l’insécurité, la régression à tous les niveaux, le climat de tension sciemment entretenu par les autorités d’occupation marocaines, ont engendré peur et terreur et installé la population civile sahraouie dans un deuil qui n’en finit pas.
En dépit de l’interdiction qui frappe les associations et différentes ONG sahraouies dont le travail consiste à recueillir les informations en relation avec les violations des droits de l’homme et à demander justice pour les sahraouis, soumis à des disparitions forcées, plusieurs organisations de défense des droits de l’homme dénoncent périodiquement la persistance déplorable des violations des droits de l’homme au Sahara Occidental. C’est le cas, par exemple d’ Amnesty international , Human Rights Watch, Freedom House, l’organisation Mondiale contrela Torture, Reporters sons Frontières, ainsi que d’autres institutions de l’ONU comme le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme qui, dans son rapport de mission (15/23 Mai et 19 Juin 2006), fait état de la politique de violation systématique des droits de l’Homme, menée par le Maroc contre les populations civiles vivant sous le joug de son occupation, et qui avait conclu dans ses recommandations que « les violations des droits de l’Homme, perpétrées contre le peuple du Sahara Occidental découlent de la non application du droit humain fondamental qu’est le droit à l’autodétermination ».
Les violations des droits de l’homme au Sahara Occidental ne se limitent pas aux atteintes décrites dans les paragraphes précédents. En effet, les autorités marocaines continuent de limiter considérablement le mouvement des citoyens sahraouis. Plusieurs sites web sont bloqués, et les interdictions frappent la distribution des livres mais aussi toutes sortes de publications.
Les autres sujets d’inquiétude comprennent les restrictions au mouvement des défenseurs sahraouis des droits de l’homme et la surveillance policière généralisée en plus de l’intimidation et l’interception des communications.
Cet état de fait démontre, si besoin est, que la façade de « démocratie » présentée à l’étranger par le Maroc ne saurait cacher les graves atteintes à la liberté d’expression et les violations systématiques des droits de l’homme qui, depuis le 21 mai 2005, date du déclenchement des manifestations pacifiques, ont pris un caractère institutionnalisé à l’encontre de tous ceux qui réclament le droit à l’autodétermination, et singulièrement les défenseurs sahraouis des droits humains. Les prisonniers politiques sahraouis ont également payé, parfois de leur vie, la répression qui sévit dans le territoire. Ainsi, plusieurs d’entre eux vivront malheureusement avec des séquelles et des maladies contractées dans les prisons et les divers centres de détentions secrets au Maroc
Le territoire sahraoui où sont commis ces dépassements est totalement isolé des médias car plusieurs délégations composées de journalistes, parlementaires et ONG n’ont pas été autorisées à y entrer pour constater, de visu, ce qui s’y passe. C’est le cas pour des dizaines de délégations espagnoles, dont des parlementaires et des représentants de la société civile, une délégation norvégienne, et dernièrement la délégation ad hoc du parlement européen.
Devant une telle situation et l’urgence de son traitement, les Nations Unies doivent élargir, sans tarder, les prérogatives dela MINURSO à la protection des civils sahraouis dans les territoires occupés.La Communauté internationale est appelée, quant à elle, à déployer tous les outils politiques nécessaires afin de s’assurer que les médias, les organisations de défense des droits de l’homme et les observateurs internationaux puissent accéder librement au Sahara Occidental.
Je vous remercie de votre attention.
Genève, 24.09.07

dissabte, de setembre 29, 2007

LA POLICIA MARROQUÍ TIENE ORDEN DE REBENTARNOS LOS OJOS A LOS SAHARAUIS (Sultana Jaya)

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Així de contundent començava aquesta tarda la seva xerrada na SULTANA JAYA a Girona.
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Na Sultana, és una noia sahrauí, de Bojador (Sahara Occidental ocupat pel Marroc) que feia uns minuts m’havia trobat junt a 2 amigues sahrauís quan es dirigien al Centre Cívic, a Girona, per tal de parlar del seu Sàhara Occidental. Evidentment, ella no es va presentar com a tal i vaig anar amb ella, normalment, fins que vam arribar al Centre Cívic La Mercè. Allà l’esperaven les càmeres de TV3 (els amics Ricard i Walter) davant les quals, va parlar amb la mateixa naturalitat que ho havia fet amb mi. Després, va entrar, junt a la amiga CRISTINA NAVARRO, la nostra amiga i davocada, i va començar la xerrada.

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Na CRISTINA, ens va parlar de les irregularitats que han de patir els sahrauís dels Territoris Ocupats pel Marroc, ja que son detinguts per manifestar-se pacíficament, pel simple fet de portar un darrah o una melfa o per parlar en hassania. Un sahrauí pot ser detingut pel sol fet de ser-ho, així com pot patir tota mena de vexacions, violacions, pallisses, … , i tot amb el consentiment d’Espanya (potencia administradora del Sàhara Occidental) de la Unió Europea i de la ONU.

També ens va explicar les irregularitats que han de patir els/les sahrauís en els judicis, on es presenten amb la roba plena de la seva pròpia sang i on poden mostrar les ferides produides en els “interrogatoris” als observadors internacionals (aquesta és la impunitat dels marroquís). Impunitat que continua amb judicis que tracten com a delinqüents comuns a ciutadans, que en primer terme i segons la legislació internacional, no poden ser jutjats per les lleis marroquines i que en segon terme son jutjats com a delinqüents comuns, quan el que es preten és aniquilar a tot un poble.

Un altre fet molt greu, és l’acceptació dels informes judicials, FALSOS, com a úniques proves en uns judicis que son una pantomima, per tal d’atemorir a tot un poble. Sols així es poden entendre condemnes per fets ocorreguts al Sàhara Occidental a activistes com a ALI SALEM TAMEK, quan aquest ESTAVA A ALEMANYA. El jutje, en aquest cas i en d’altres, no accepta les proves de la defensa, fins i tot quan hi ha la disposició de periodistes, diputats, alcaldes, … , d’anar a declarar o es porta la premsa del país on estaven els activistes … A Catalunya i Espanya, aquesta actitud dels jutjes tindria una denominació, que jo m’estalvio d’escriure.

Però el que és més greu, aquests fets son denunciats per les ONGs de drets humans com a Aministia Internacional i d’altres i ni la potència administradora (Espanya) ni la gran valedora del Marroc (França) ni la U.E. ni la ONU fan res per evitar-ho … l’únics que s’els ocorre es elogiar un procés democratitzador al Marroc, que tothom sap està supeditat a la voluntat del rei i a les seves tupinades.

SULTANA JAYA, va començar per explicar la situació del seu poble, que ha de patir la pitjor de les admnistracions colonials. Ens explicava l’existència de 500 desapareguts (sahrauís) de com els joves sahrauís son obligats a “emigrar” sota amenaça de mort i d’amenaces contra tots els membres de les seves famílies (de violació de fills i filles o de mares, de destrucció física de les seves cases, … ). Ens explicava que els últims mesos coneixia directament 14 d’aquests casos que implicaven joves coneguts per ella i que les associacions de defensa dels drets humans, en teniem més de 400 de registrats.

Ens va parlar que a la ciutat d’SMARA, la POLICIA COLONIAL MARROQUINA, TE L’ORDRE DE REBENTAR ELS ULLS DELS SAHRAUÍS, i que qui ho vulgui veure trobarà a nens i nenes de 10 anys, joves i adults sahrauís, amb cops als ulls, molts d’ells amb èxit per la policia. Aquesta pràctica s’esta extenent i a ella mateixa li van rebentar un ull i quasi l’altre (li van trencar l’os de la cella). Aquesta és la democràcia i el respecte als drets humans dels marroquins, de la que ens parla el govern d’Espanya o França?

Ens va parlar amb tota cruesa de com havia estat agredida junt a 2 amigues seves, per un grup de policies colonials marroquins. El motiu: ser sospitosa de participar en una manifestació pacífica, junt a un grup d’estudiants sahrauís, en la que es reclamava l’autodeterminació del seu país, el Sàhara Occidental.

Ens va explicar, que com tot i tenir l’os de la cella trencat, l’ull rebentat i la mandíbula també trencada, no va ser portada a un hospital, tot al contrari, en el mateix vehicle que les va recollir, van ser torturades i vexades pels policies marroquins i com a l’arribar a comisaria, també van ser víctimes, un altre cop, de tortures, violacions, vexacions, …

Fins i tot, quan els companys i companyes de na Sultana, van aconseguir que aquesta fos traslladada a un hospital, va ser tancada en una sala amb un matalàs en un racó i quan va entrar algú va ser per tornar a ser apallisada i obligada a veure la seva pròpia sang, després d’haver-la vomitat a causa dels cops …

Crec que em puc estalviar els detalls dels processos judicials, de com na Sultana, els/les seus/ves campanys/es i altres activistes dels drets humans sahrauís van patir uns processos judicials completament irregulars, fins i tot, tenint present les lleis marroquines. De com van ser apallissats/des per tal de que signessin uns informes policials irregulars i com el jutje no els va permetre explicar-ho.

De com els militars marroquins no volien permetre la cura de les seves ferides. Deien que millor deixar l’ull malmès i les ferides, perque tothom veiés el que passa per expressar-se lliurement … en fi, us podeu imaginar … sols l’acció d’altres sahrauís i d’algun professional, posant en risc la seva posició, va evitar-ho

Per acabar vull donar les gràcies a ACAPS GIRONA, per treballar com ho fan, per organitzar actes com el d’ahir, … , gràcies, en particular a na Lluïsa, na Txell, en Ferran, l’Antoni i a tots aquells i aquelles que han participat i han contribuit a que els actes del 10è. Aniversari de l’Agermanament entre GIRONA i FARSIA siguin un èxit

dimecres, de setembre 26, 2007

Sultana Jaya i Cristina Navarro a Girona


Des de ACAPS GIRONA, ens informen que SULTANA JAYA (una jove sahrauí agredida per les forces colonials marroquines) també participarà, junt a CRISTINA NAVARRO a la xerrada que es farà a Girona, divendres, a les 7 de la tarda, al Centre Cultural "La Mercè" de Girona: Els Territoris Ocupats del Sàhara Occidental
(CLIQUEU SOBRE LES IMATGES PER VEURE MILLOR EL PROGRAMA D'ACTES DE L'AGERMANAMENT GIRONA - FARSIA)

dimarts, de setembre 25, 2007

La 13ª Caravana Catalana Solidària amb el Sàhara, JA HA ARRIBAT ALS CAMPAMENTS

La 13ª Caravana Solidària als Campaments de Tindouf. Tenim notícies que els aliments han arribat a les diferents DAIRES, després d'haver entrat als Magatzems Centrals.
Després de una temporada difícil per a tos i totes, havent superat tot tipus de contrarietat ...
- Canvis de model a mitja campanya (quan ja teníem pràcticament tancada la compra de camions ... des de les institucions ens demanen que portem els aliments en contenidors)
- Quan ja havíem canviat el model, canvi de magatzem (de Martorell a Olesa de Montserrat, per tal de donar temps al canvi de model de Caravana)
- Quan tot semblava resolt, problemes burocràtics
- Quan els aliments ja estaven a Algèria, nous problemes que al final s'han convertit en reptes ... en més treball per fer arribar els aliments als sahrauís
Cal donar les gràcies A TOTHOM qui ha col·laborat en que aquest projecte sigui un èxit: Mai s'havien recollit i enviat 13 contenidors d'aliments a Catalunya, MÉS DE 250 Tn.
Cal donar les gràcies als/les col·laboradors, a les seccions i associacions, a la Delegació del Frente Polisario, a la Mitja Lluna Roja Sahrauí, a les institucions (ajuntaments, diputacions i Generalitat de Catalunya, a través de l'A.C.C.D.)
Cal donar les gràcies al poble sahrauí, per la seva capacitat de resistir i per la seva capacitat d'unir-nos a tots.
De totes maneres:
Caldrà treballar per acabar d'enviar el que encara ens queda.
Caldrà comprar els aliments en origen com vam dir
Caldrà treballar més i millor per fer que la propera Caravana sigui un èxit més important ... Serà fàcil, tindrem més tranquil·litat per fer-ho millor
Tal com hem vingut dient, farem un acte de balanç i us farem arribar el nostre informe, per tal que analitzeu, i si voleu, podeu presentar-les als socis, col·laboradors i institucions

dilluns, de setembre 24, 2007

L'art i la llibertat


Aquesta és una de les imatges d'art sahrauí, que de tant en tant ens regala na Goufia en el seu blog.

L'art està totalment implicat en la lluita del poble sahrauí perque, com no pot ser d'altra manera, en un poble lliure, el seu art, és la seva màxima expressió i per tant la màxima expressió de les seves ànsies de llibertat.

En un mon, com l'art, on des de principis del segle XX, es parla de compromís social i com no pot ser d'altra manera, aquest concepte s'aplica o no s'aplica en funció del moment polític i social en el que es viu, en el mon sahrauí aquest concepte està més viu que mai. Possiblement, en cap altre lloc del mon trobarem un art, uns artistes, més implicats en la lluita del seu poble. Aquest és potser la màxima expressió, de la necessitat de l'art de viure en llibertat, i mentre que no es produeixi aquest fet, la implicació social de l'art sahrauí, és un fet innegable.

És un fet, a més, imprescindible, ja que la cultura i l'art, son fets substancials a un poble que estima la llibertat

diumenge, de setembre 23, 2007

Goufia, Agaila Abba, en Pep i na Concha i en Bahia. Els meus premis Solidaris.


Ja fa uns dies els companys de SAHARA RESISTE, em van passar el PREMI BLOG SOLIDARIO i un dels compromisos que comporta aquest premi, és el de fer-lo arribar a qui considerem que s'ho mereix. Feina difícil aquesta, ja que segur que hi ha molts BLOGS que s'ho mereixen

Per altra banda, molts dels blogs que serien la meva primera opció a l'hora d'escollir també el tenen. Quina llàstima no poder donar el premi a tants amics i amigues de la WILAIA CATALANA, a molts dels blogs de la galàxia POEMARIO o fins i tot a la meva amiga AGAILA ABBA HEMEIDA, a qui li penso traspassar tot i no saber segur que ja el tingui ... davant el dubte crec que s'el mereix.

Però si hi ha algú que pensi que he perdut primeres opcions, s'equivoca. Els blogs a qui passo el premi BLOG SOLIDARIO, son en tots els casos blogs a qui donaria el premi amb els ulls tancats.

GOUFIA blog, un blog que últimament escriu molt en àrab, es mereix el premi solidari i molts més. És el blog d'una lluitadora saharaui, en el que no sols es pot trobar les notícies i els fets del Sàhara Occidental ocupat, sino també tota aquella força de les dones saharauis en la seva lluita per un país independent. Na Goufia, recull aquesta força i la trasllada en els seus escrits. Son dones com aquesta, sahrauis com a aquesta que em motiven a estar al costat de tot un poble.

El tercer premi BLOG SOLIDARI, és per aquell a qui em pensat tots i totes els catalans que cal que el tingui, si, en PEP HI DIU LA SEVA ... el lluitador pro saharauí dels Pirineus, aquell que des de una terra tant verda, porta tones de solidaritat cap el desert.

Per fi, no em se estar i també en donaré un altre a un Blog de la Galàxia POEMARIO, un blog que tant na Conchi com en Bahia han de tenir amb una estima molt alta HAZ LO QUE DEBAS, un lloc de la xarxa per on em podeu trobar moltes vegades. És una meravella per on cal anar-hi de tant en tant. És d'aquells racons per on s'acaben trobant les essències de tot allò pel que lluites.

Encara en queden uns quants a qui fer arribar el premi, us animo a que ho feu

Ya hace unos dias, los compañeros de SAHARA RESISTE, me pasaron el PREMIO BLOG SOLIDARIO i uno de los compromisos que comporta este premio, que es nominar a quien consideremos que también se lo merece. Un trabajo muy difícil, ya que seguro que hay muchos blogs que se lo merecen.

Por otra parte, muchos de los blogs que serían mi primera opción, ya se que lo tienen. Qué lástima no poder premiar a muchos de mis amigos y amigas de la WILAIA CATALANA o a muchos de los blogs de la galaxia POEMARIO.

Pienso traspasar este premio a mi amiga AGAILA ABBA HEMEIDA, aun a riesgo que ya lo tenga … delante de la duda, mejor que lo tenga por mi parte.

Si alguien piensa que he perdido mis primeras opciones a la hora de conceder se equivoca. Els blogs a quien paso el premio BLOG SOLIDARIO son en todos los casos, blogs a quien se los daría con los ojos cerrados.

GOUFIA Blog, un blog que se escribe últimamente mucho en árabe, se merece el PREMIO BLOG SOLIDARIO y muchos más. Es el blog de una luchadora saharaui, en el que no solo se pueden encontrar las noticias y los hechos del Sahara Occidental ocupado, si no también toda la fuerza de las mujeres saharauis en su lucha por un pais independiente. Goufia, recoge esta fueza y la traslada a sus escritos. Son mujeres, como esta, que me motivan a estar al lado del pueblo saharaui.

El tercer premio BLOG SOLIDARIO, es para aquel en el que hemos pensado todos los catalanes, si, PEP HI DIU LA SEVA … el luchador pro saharaui de los Pirineos, aquel que desde una tierra tan verde, lleva toneladas de solidaridad hacia el desierto.

Por fin, no puedo resistirme y daré otro premio solidario a un blog de la galaxia POEMARIO, un blog que tanto Conchi como Bahia, han de querer muchísimo, HAZ LO QUE DEBAS, un lugar en la Red por donde me podeis encontrar muchas veces. Es una maravilla por donde se debe ir alguna vez. Es uno de aquellos rincones por donde encuentras las esencias de todo aquello por lo que luchas

XX Aniversari de l'agermanament Gasteiz / La Guera




El proper cap de setmana (el del 28 i 29 de setembre) estè ple d'actes i actes que son importants, ja que tenen a veure amb la continuitat del treball. Ja fa dies que anem parlant de 10è aniversari de l'agermanament de Girona amb Farsia, al qual cal que hi anem tots els que puguem

Avui, cal parlar d'un altre, que encara que ens quedi lluny, també cal destacar, és el XXè aniversari de l'agermanament de Gazteiz amb La Güera. Tota una tradició, tot un treball de molta continuitat, un treball molt ben fet i que es reflecteix amb la quantitat i la qualitat dels actes programats

dijous, de setembre 20, 2007

El Sàhara a la Fiesta del Partido Comunista de España (21, 22 I 23 de setembre)








Més solidaritat amb el Sàhara des de l'esquerra. L'altre dia des de L'HUMANITÉ, ara, des de la Festa del PCE a Madrid, que a més, celebra 30 anys. MOLTES FELICITATS








Pabellón de Brigadas Internacionales (Pabellón La PIPA) · Casa de Campo · Madrid
Organizado por: PCE / CEAS-Sáhara
23/09/2007, a partir de las 10:00 h.
Fiesta PCE 2007
FIESTA PCE 2007
ACTOS DE SOLIDARIDAD CON EL SÁHARA

Durante los próximos días 21, 22 y 23 de Septiembre, dentro de la Fiesta PCE 2007, CEAS-Sáhara va a organizar una serie de actos para celebrar el 2007 como Año Internacional de Solidaridad con el Pueblo Saharaui.

En el Pabellón “Brigadas Internacionales” (Pabellón La Pipa)

- Exposición de fotografías y paneles informativos. "Sáhara Occidental, soñando con el reencuentro" (cedida por ASPA-Málaga, Asociación Andaluza por la Solidaridad y la Paz)

- Exposición de artesanía saharaui
- Instalación de una Jaima saharaui, donde haremos la "Ceremonia de los tres tés saharauis" ... el primero amargo como la vida, el segundo dulce como el amor y el tercero suave como la muerte.

- Proyección de películas y documentales (viernes noche, sábado y domingo): El horario de proyeciones se expondrá en el stand de CEAS.

1. La Puerta del Sáhara
2. Sáhara Marathón
3. Las Cubarauis
4. Tuizza entre mujeres
5. Lalia
6. Fatimetu, la llamada del Desierto
7. Voces del Sáhara
8. El Compás de una lucha
9. Sáhara, el referéndum deseado

- Charla-coloquio "El Sáhara Occidental en el 2007". El sábado 22, a partir de las 16,30h.
Intervienen: Brahim Gali, Delegado Saharaui para España y José Taboada, Presidente de CEAS-Sáhara

OS ESPERAMOS, NO FALTEIS A LA CITA SOLIDARIA CON EL PUEBLO SAHARAUI, EN LA FIESTA DEL PCE

La Fiesta del PCE. Madrid, Casa de Campo.
Como llegar: Autobuses: 31, 33, 36, 39, 65, 138, N18 y N19. Metro: Línea 6 -Alto Extremadura y Línea 10 -Lago-

dimecres, de setembre 19, 2007

Nou diccionari Català - Castellà - Hassania, de l'ACAPS GRÀCIA


Els companys de l'ACAPS GRÀCIA, després d'un gran i sistemàtic treball, han aconseguit publicar el PETIT / gran DICCIONARI Català / Castellà / Hassania.

És una gran eina que segur que ajudarà a acostar els pobles català i el hassania.

És molt important recolzar aquesta iniciativa i fer-ne difusió.

Si en voleu algun exemplar, o simplement voleu fer evident el vostre recolzament a aquesta iniciativa, em podeu escriure al blog (publicant un comentari) al meu mail: mahbes@gmail.com o al mail dels companys de Gràcia:

acaps@gracianet.org

on atendran les vostres comandes.

dimarts, de setembre 18, 2007

El PARTIDO DOS TRABALHADORES do Brasil, a favor de la independència del Sahara Occidental






El 3er. Congrès del PARTIDO DOS TRABALHADORES del Brasil (31 d'agost al 2 de setembre de 2007) s'ha posicionat a favor de la independencia del Sáhara Occidental. És una bona notícia pels que creiem en la independència dels sahrauís. En tot cas, és una bona notícia que cal difondre. No oblidem que el PT, és el partit en el govern d'un dels països més influents del Sud d'Amèrica


El 3er.Congreso del Partido de los Trabajadores (PT) celebrado en la ciudad de São Paulo los dias 31 de agosto al 2 de setiembre, contó con la presencia de una delegación del Frente POLISARIO. Durante el evento se realizó una conferencia para informar, principalmente, sobre la rebelión pacífica, que desde mayo de 2005, sostiene la población saharaui contra las fuerzas represivas marroquíes en los territorios del Sáhara Occidental, ilegalmente ocupados desde 1975 por el reino de Marruecos.

Al término del Congreso, el partido de gobierno de Brasil emitió un documento titulado "PT Concepción y Funcionamiento". En el capítulo dedicado a los principios de la política de relaciones internacionales del Partido de los Trabajadores, hay un acápite denominado "Respeto a la soberanía y autodeterminación de los pueblos y naciones" en el que se manifiesta lo siguiente: "Defendemos el derecho de todos los pueblos a la autodeterminación y consideramos el respeto a la soberanía nacional un principio incuestionable de nuestra política internacional. Por ello apoyamos la constitución de un Estado libre e independiente para el pueblo saharaui, la República del Sáhara Occidental"


O 3º Congresso do Partido dos Trabalhadores (PT) realizado na cidade de São Paulo nos dias 31 de agosto a 2 de setembro, contou com a presença de uma delegação da Frente POLISARIO. Durante o evento se realizou uma palestra para informar, principalmente, sobre a rebelião pacífica, que desde maio de 2005, sustenta a população saaraui contra as forças repressivas marroquinas nos territórios do Saara Ocidental, ilegalmente ocupados desde 1975 pelo reino de Marrocos

Terminado o Congresso, o partido de governo do Brasil emitiu um documento titulado "PT Concepção e Funcionamento". No capítulo dedicado aos princípios da política de relações internacionais do Partido dos Trabalhadores, há um ponto denominado "Respeito à soberania e autodeterminação dos povos e nações" que diz o seguinte": Defendemos o direito de todos os povos à autodeterminação e consideramos a o respeito à soberania nacional um princípio inquestionável de nossa política internacional. Assim, apoiamos a constituição de um Estado livre e independente para o povo saaraui, a República do Saara Ocidental.

JORNADES DE LA REVISTA ILLACRUA



Unes jornades prou importants, per tots aquells i aquelles que creiem que el mon pot ser canviat. Cal participar-hi

Ah! Si cliqueu sobre la imatge podreu veure el programa a un tamany raonable

dilluns, de setembre 17, 2007

SLUGUILLA LAWAJ. Patrimonio de la Humanidad





Com podeu veure, ens unim a la reivindicació d'SLUGUILLA LAWAJ, patrimoni cultural de la Humanitat. No m'estendré en explicar les raons, per això ja podeu llegir l'article de JORDI UNGÉ (UdG). Espero que us pugui agradar. La reivindicació dels fets culturals sahrauís també ha de ser una prioritat de la lluita d'aquest poble per la seva independència.

Autor: Ungé Plaja, Jordi
http://es.geocities.com/arqueonomadas/

SITUACIÓN Y ANTECEDENTES

El yacimiento de grabados al aire libre de Sluguilla Lawaj, se localiza en la cuenca endorreica del la sebkha Dallet el Am, al norte de Mauritania. El yacimiento está en el noreste del Sahara Occidental [1], dónde discurren los uadis que desembocan en dicha sebkha (fig. 1). Esta cuenca no tiene ninguna relación con el nacimiento del uadi más importante del Sahara Occidental, la Saguia el Hamra [2], como se observa en el mapa de situación. De la misma manera estamos justo al sur del extremo meridional de la hamada [3], en una tierra desolada, sin agua ni prácticamente vida diurna. Hoy día solo traviesan la zona algunos beduinos saharauis con sus rebaños de camellos para llegar a otras regiones más húmeda.


Fig. 1: Mapa topográfico con la situación del yacimiento.


En la ribera derecha del uadi Lawaj-el-Tel·li, a lo largo de 35 Km. de longitud, por uno de ancho máximo, se encuentran las losas cuarcíticas sedimentarias de época devónica donde los habitantes prehistóricos grabaron su arte. Estamos delante de un yacimiento comparable al mítico uadi Djerat (Lhote, 1975).

Los investigadores que publicaron algunas de sus rocas no percibieron su magnitud. Pellicer y Acosta (1972) sólo publicaron algunas figuras de los alrededores de la tumba de Sidi Mulud. Sector que conocemos pero que todavía no hemos documentado exhaustivamente. Por otra parte Milburn (1973) publica algunas figuras cercanas a la pista de Tinduf a Bir-Lehlu que traviesa el yacimiento. Estas corresponden a nuestros sectores F, G y H. Finalmente también citar a Soleilhavoup (1997) que publica algunos calcos incompletos y distorsionados realizados a partir de unas fotos enviadas por un general de la ONU. Dicho general pertenece a la MINURSO [4], y durante una misión de reconocimiento coincidieron con los investigadores de la Universitat de Girona (campaña del 1996), cuando empezábamos el estudio del yacimiento. Después de pedirnos la documentación, preguntaron por el motivo de nuestra visita. Seguidamente empezaron a fotografiar las mismas rocas en las que estábamos trabajando. Curiosamente son la mismas rocas que aparecen en su artículo.

Milburn bautiza el yacimiento con el nombre de Ras Lentareg, topónimo también utilizado por Soleilhavoup. Este nombre es incorrecto, pues se trata de una zona localizada al sur de la cuenca endorreica donde confluye el Lawaj.

Nuestros trabajos empezaron en 1995, en colaboración con el Ministerio de cultura de la RASD [5], quien alertado del peligro de expolio de las rocas grabadas, decidió encargarnos la documentación de este y otros enclaves rupestres (Soler et alii, 1999a, 1999b, 2001)

PAISAJE ACTUAL

El paisaje dominante es básicamente llano, se trata de un reg con pequeñas elevaciones onduladas que no superan los 10 m de altura respecto al uadi Lawaj. Las pendientes son suaves, y entrecortadas por multitud de pequeños uadis de escaso recorrido (raramente superan los 500 m) que los saharauis llaman genéricamente fadra(s). También erosionan estas elevaciones otros uadis con más entidad llamados sluguilla [6].Aquí se concentra la escasa vegetación del paraje.

Para hacer más cómodo el estudio y la localización de las rocas grabadas hemos dividido el yacimiento en sectores (fig. 2), aprovechando los fadra que erosionan la escasa elevación donde se ubican los grabados. Además de las losas decoradas, en esas elevaciones, se encuentra gran cantidad de industria lítica, muy eolizada, cuya relación con los grabados es difícil de establecer. Su topología abarca des de bifaces probablemente achelienses, algunos útiles pedunculados aterienses, núcleos discoidales, y gran cantidad de pequeñas lascas de cuarzo. También conocemos algún núcleo laminar tallado en la misma roca cuarcítica. La industria solamente se localiza en la superficie del reg. Escasamente hemos encontrado algún fragmento de cerámica a mano, siempre muy desgastado por la erosión eólica. Finalmente señalar las abundantes tumbas preislámicas, sobretodo túmulos, y en algún caso con antenas (Pellicer, 1973). No hemos podido establecer ningún tipo de relación entre esas tumbas y el arte rupestre, es más, creemos que no la tienen.


Fig. 2: Sectores documentados.
Actualmente el clima es muy árido, con alguna lluvia ocasional y torrencial, que acentúa la erosión del paisaje. Cosa que dificulta mucho el desarrollo de la vida. Aún así la escasa vegetación arbustiva permite sobrevivir a algunos roedores (Jaculus, y Gerbillurus) y lagomorfos (Lepus capensis), como herbívoros más destacados. Los principales depredadores son los fénecs (Vulpes zerda), y algún chacal (Canis aureus), aunque muy escasos.

EL ARTE DE SLUGUILLA LAWAJ.

Los soportes aptos para grabar son muchos, pero no todos fueron aprovechados por los pobladores prehistóricos. Se trata de losas con la superficie lisa, alteradas únicamente por alguna grieta o exfoliación. Se encuentran en posición horizontal o ligeramente inclinadas, con tamaños variables (entre 40 - 400 cm). A lo largo de los 17 km que hemos documentado exhaustivamente, conocemos más de 1000 figuras grabadas. Este artículo se limita a presentar las figuras de los sectores A, B, C, D, E, F y G, en total unos 4 Km. en línea recta, y donde hemos documentado 230 figuras (fig. 2).

Los motivos grabados, igual que los soportes, son de tamaño mediano, la mayoría oscilan entre los 20 y 80 cm.

La técnica de los artistas de Sluguilla Lawaj se aracteriza por el empleo sistemático del grabado. Este presenta un surco inciso con el interior completamente pulido, su profundidad (0’5 - 10 mm.) y grosor (3 - 10 mm) son variables, hecho que permite visualizarlos sin mucha dificultad. La sección del mismo es siempre en U. No conocemos ningún ejemplo en V, tal y como pasa en otros yacimientos saharianos de similares características [7], en los que se combinan ambas. Del mismo modo tampoco hemos apreciado restos de ningún piqueteado previo al pulido del trazo.

En la mayoría de trazos grabados, se observa una erosión especial, muy fina y en forma de sierra. Se localiza siempre en uno de los bordes superiores del surco, sobretodo los que están orientados norte - sur. La causa es el viento predominante en la zona, el Siroco, que sopla de este a oeste y arrastra gran cantidad de granitos de arena. El Siroco también es el culpable de la erosión casi completa de algunas figuras.

Las pátinas de los grabados son idénticas a la superficie de la roca, salvo en contados casos en los que hemos descubierto figuras en losas o plaquetas boca abajo. Solo en ese caso la patina es más clara, pero no solo el surco, sino también la superficie sin decorar. Pues han quedado protegidas de la acción del sol y del viento durante mucho tiempo.

La reproducción de las figuras en calcos se ha hecho a partir de diapositivas realizadas perpendicularmente a la superficie de las rocas decoradas; con el fin de evitar la distorsión de los motivos. El soporte analógico en 3’5mm se ha digitalizado para ser reproducido con sofware especializado. Advertir que la mayoría de figuras adjuntas a este artículo no reproducen el panel completo, son figuras que se han aislado del resto del conjunto. Un hecho que ha facilitado la reproducción informática de los motivos representados es su extraordinaria nitidez. Son escasas las figuras con detalles internos, y muy extrañas las marañas de trazos adjuntos habituales en otros yacimientos. Posiblemente la dureza de la roca tenga algo que ver al respeto.

Para la catalogación de las figuras grabadas hemos utilizado cuatro grupos básicos: zoomorfos, antropomorfos, signos y figuras (o trazos) indeterminables (fig.3); un dato interesante en ese aspecto nos indica la proximidad de este arte con el paleolítico europeo. Responde proporcionalmente al mismo esquema: Las figuras más abundantes son los zoomorfos, seguidos de los signos, y finalmente los antropomorfos. También hemos creado la categoría de inscripciones para los graffitis modernos que personajes desaprensivos han grabado encima las figuras prehistóricas.


Fig. 3: Porcentaje y cantidad de las figuras documentadas.

Pasamos a continuación a mostrar cada una de las categorías.

Graffitis contemporáneos

Uno de los criterios del equipo de la Universitat de Girona, en común acuerdo con el Ministerio de cultura de la RASD, para empezar a documentar este yacimiento, fue el peligro de expolio que corren las losas grabadas [8]. Del mismo modo que algunos personajes han realizados graffitis encima de los motivos prehistóricos.

La inscripción que hemos documentado es un nombre masculino (Kha Khaled Alam), grabado probablemente con un objeto metálico. Se localiza en la Roca F11a justo al lado de la pista llamada de Mohamed Baba (de Tinduf a Bir-Lehlu), que traviesa el yacimiento, y divide los sectores F y G. No le damos mayor importancia puesto que se trata de un grabado contemporáneo.

Antropomorfos

Las figuras antropomorfas (fig. 4) son escasas en comparación con los zoomorfos. Todas las figuras representan humanos, exceptuando la fig. 4:3 que es un simiae. Así lo denota su larga cola y la posición de las extremidades. Son figuras poco detalladas, en algún caso incompletas, generalmente de pequeño tamaño, y salvo excepción todas asexuadas. Sabemos de la existencia de una docena más de figuras antropomorfas, entre las que destaca un magnífico arquero acompañado probablemente por un licaón (Lycaon pictus)(Roca X30a). También un hombre con el pene erecto que sostiene un hacha de mano y está situado detrás de un imponente rinoceronte con los brazos extendidos hacia él (Roca en el sector de Sidi Mulud, inédita).


Fig. 4: Figuras antropomorfas de Sluguilla Lawaj. 1: Roca B6b; 2: Roca C1; 3: Primate (simiae) Roca C6a; 4: Roca D22b; 5 y 6: Roca F13.
Signos

Los signos están agrupados en cuatro categorías, los triangulares, ovalados, con forma de boomerang, y los zeppelines. En este campo hemos intentado clasificarlos de forma que el nombre no implique un significado prehistórico. Así, los que tienen “forma de boomerang” no es que se trate de dicha arma, sino simplemente sigue este modelo morfológico.

De forma triangular sólo conocemos un signo (fig.5:1). Con forma de boomerang tenemos dos ejemplares (fig.5:2-3). Los signos ovalados cuentan una única representación (fig.5:4). La categoría más compleja e interesante son los zeppelines.


Fig. 5: Signos de Sluguilla Lawaj. 1: Signo triangular (Roca D16a); 2: Signo con forma de boomerang (Roca B8a); 3: Signo con forma de boomerang (Roca D24b); 4: Signo ovalado (Roca B5a).
Hemos clasificado con este nombre los signos que otros autores (Wolff, 1997, 1999; Masy, 1998; Le Quellec, 1993) consideran como trampas (piège, o nasse). Nosotros no coincidimos con esa interpretación. Creemos que faltan paralelismos etnológicos, u otra clase de pruebas, para justificarla. De la misma manera, nos parece arriesgado interpretar como trampas un signo cuya simbología nos es confusa. Es por eso que hemos bautizado esas figuras como zeppelines, por su morfología parecida a esos artefactos voladores, sin que eso implique ningún significado prehistórico. En los seis sectores que ese articulo presenta, hay identificados, 23 zeppelines, de los cuales 7 se han clasificado directamente como zoomorfos (fig.6)(3 zoomorfos indeterminados, 2 bóvidos y 2 Arruís). Los 16 restantes responden a la categoría de zeppelines indeterminados. Creemos que esos signos representan animales vistos desde una perspectiva cenital, del mismo modo que otros autores han apuntado (Pellicer, 1972). En Sluguilla Lawaj, los zeppelines son más claros y nítidos que en otros yacimientos. Probablemente eso es debido a la extraordinaria dureza de la roca. Esta no permite la fácil realización de surcos complementarios que en la mayoría de casos confunden el motivo principal, tal y como pasa en muchos yacimientos marroquíes (Wolff, 1997, 1999). La importancia de los zeppelines en el arte sahariano es variable, pero se trata, sin duda, de un signo grabado en muchos y muy diferentes yacimientos. Según los inventarios de las representaciones de zeppelines realizados por Wolff [9] (1997, 1999), y Masy (1998), Sluguilla Lawaj se configura como el yacimiento que más figuras aporta. Hasta el momento conocemos 86 zeppelines, además de otras topologías de signos, probablemente a medida que avance la documentación y el estudio podremos clasificar más.


Fig. 6: Zeppelines zoomorfos. 1 y 2: Roca D5a, zoomorfos indeterminados. 3: Roca D11a, zoomorfo indeterminado. 4: Roca A6a, Bovinae. 5: Roca B2b, Bovinae. 6: Roca C4, Arruí (Ammotragus lervia). 7: Roca E1a, Arruí (Ammotragus lervia)
Zoomorfos

Para la determinación de la fauna hemos contado con la inestimable ayuda de las doctoras Teresa Abaigar y Mar Cano, especialistas en ungulados saharianos, e investigadoras de la Estación Experimental de Zonas Áridas, del CSIC [10] (Almería, España). Este centro está especializado en la reproducción en cautividad de especies ya desaparecidas, o en vías de extinción, del Sahara Occidental. Como el Arruí (Ammotragus lervia) y tres especies de gacelas (Gazella dama, Gazella dorcas, Gazella cuvieri).

Los zoomorfos son las figuras más abundantes. Contamos un total de 181 figuras clasificadas en 10 categorías (fig. 7): Bóvidos (Bovidae), aves, carnívoros, elefantes, équidos, jiráfidos, rinocerontes, zéppelines/bovidos, zeppelines indeterminados, y zoomorfos indeterminados. No hemos encontrado ninguna representación de carros, ni hasta el momento, grabados con inscripciones tifinagh. Hecho que nos denotaría una cronología más moderna, y que algunos autores apuntan como características de la escuela de Tazina (Muzzolini, 1995).


Fig. 7: Porcentaje y cantidad de zoomorfos documentados.


Fig. 8: Porcentaje y cantidad de los bóvidos (familia Bovidae) documentados.
Bóvidos
La categoría mejor representada son los bóvidos, en total suman 77 figuras (fig.8): Áddax (Addax nasomaculatus), Alcéfalos (Alcelapus buselaphus) (fig. 10:1), Antílopes indeterminables, Antílope Cob (Kobus kob), Antílope Caballo (Hippotragus equinus) (fig. 10:2), Bovinos indeterminados (Bovinae), Búbalos (Homoiceras/Paleorovis antiquus) (fig. 10:3), Cápridos (Capra ibex) (fig. 10:4), Eland (Tragelaphus orix) (fig. 10:5), Gacelas (Gazella dama) (fig. 10:6), Gérenuks (Litocranius walleri) (fig. 10:7), Bóvidos indeterminables (Bovidae), Órix (Oryx dammah) (fig. 10:8), y Reduncas (Redunca redunca).

Aves
Las aves son relativamente abundantes, destacan los avestruces (fig. 9:1)(Struthio camelus), con 11 figuras. Siguen los flamencos (Phoenicopterus ruber) con 3 ejemplares. Y finalmente las gallinaceas (Chlamydotis undulata) con dos figuras. Tenemos también una ave indeterminada que por sus escasos detalles no podemos clasificar como avestruz o flamenco.

Carnívoros
Los carnívoros son relativamente escasos si los comparamos con otros yacimientos, sobretodo los catalogados dentro de la escuela Bubalina naturalista (uadi Djerad, Mathendous, provincia del sur de Oran). Hemos contabilizado 11 figuras divididas en dos familias: 6 félidos (fig. 9:2), y 5 cánidos. Sólo en un caso hemos podido determinar la especie, se trata de una representación de un león (Panthera leo).

Proboscidios
Los proboscidios suman 6 ejemplares, todos ellos determinados como Loxodonta africana (fig. 9:3). Suelen presentarse como figuras aisladas, únicamente en un caso podemos asociar un elefante con un humano (Roca J2). En Sluguilla la gran fauna africana está muy bien representada, contrariamente a lo que se creía del Sahara occidental (Mauny, 1955, 1956; Gautier y Muzzolini, 1991; Muzzolini, 1990; Le Quellec 1999).

Perisodáctilos
Los équidos están poco representados, contamos 4 figuras, entre las que hemos identificado un Equus africanus (fig. 9: 4). También dentro los perisodáctilos, hay 11 rinocerontes (fig. 9:5), categoría muy bien representada que también pone en entredicho la ausencia de esta especie en la región que nos ocupa.

Jiráfidos
Hemos creado la categoría de jiráfidos para incluir aquí las figuras con un cuello largo, y acéfalas, que no hemos podido determinar. Dichas figuras quedan confusas, pueden ser jirafas o gérenuks. Tenemos 2 jiráfidos indeterminables. El resto son 14 jirafas (fig. 9:6) (Giraffa camelopardalis) con morfologías muy variables que van des de el esquematismo hasta un naturalismo preciosista que reproduce las manchas de la piel o las crines.

Zeppelines zoomorfos
Los zeppelines clasificados directamente como zoomorfos han sido descritos en el apartado de los signos.

Zoomorfos indeterminados
Los zoomorfos indeterminados son 25. Se trata de restos de figuras que no ofrecen suficientes detalles para identificarlos, pero que a la vez responden a restos de figuras zoomorfas. En la mayoría de casos son grabados muy erosionados, difíciles de observar, o con detalles confusos que nos hacen dudar entre diferentes especies.


Fig. 9: Zoomorfos determinables: 1: Avestruz (Struthio camlus)(Roca Museu2); 2: Felidae (Roca B4); 3: Elefante (Loxodonta africana) (Roca F4c); 4: Equus africanus (Roca B5b); 5: Rhinocerontidae (Roca D11b); 6: Jirafa (Giraffa camelopardalis)(Roca F14).




Fig. 10: Bovidae determinables. 1: Alcéfalo (Alcelaphus buselaphus)(Roca D22b); 2: Antílope Caballo (Hippotragus equinus)(Roca D23a); 3: Bubalus antiquus (Roca A1a); 4: Capra ibex (Roca D21); 5: Eland (Tragelaphus orix)(Roca F5b); 6: Gazella dama (Roca B1a); 7: Gerenuk (Litocranius walleri)(Roca C3); 8: Oryx dammah (Roca F5a).
CONCLUSIONES PROVISIONALES

La gran extensión del yacimiento, del que aquí solo presentamos un 11’4%, hace pensar que las estadísticas variarán a medida que se complete el estudio. A lo largo del artículo hemos incluido algunas notas sobre figuras destacadas que quedaban fuera de esta área. Un aspecto en el que no queremos entrar es en la cronología de este arte. Los datos de que disponemos no nos permiten hipotetizar en ese sentido. En el campo paleo climático nos faltan gran cantidad de estudios locales. Al mismo tiempo que los pocos existentes nos muestran la gran variedad de microclimas que en conjunto conforman el desierto cálido más grande del mundo Sahara (Vernet, 1995). Solo cuando esos trabajos empiecen a realizarse tendremos la posibilidad de discutir en que momento/s podrían haber vivido los animales representados. Quizás, el mejor punto de referencia en ese sentido sea el presente. Sabemos que en el Sahara Occidental hasta época colonial vivían avestruces, gacelas, hienas, y otros antílopes que fueron cazados hasta exterminarlos (Ruíz, 1991). Seguramente sin la acción del hombre muchas especies todavía vivirían en muchas zonas áridas saharianas.

Otro campo clave son los estudios faunísticos. Los escasos trabajos de ese tipo se han centrado en la gran fauna etiópica, ignorando el resto de animales, sobretodo la gran variedad de antílopes. En el caso de Sluguilla Lawaj trabajamos con la hipótesis que la identificación de la fauna representada puede llevarnos a establecer un o unos ecosistemas más delimitados. Por otra parte tampoco se conoce ningún yacimiento arqueológico cercano que pudiera aportar restos óseos.

No nos parece apropiado establecer criterios estilísticos para determinar escuelas de arte rupestre grabado. Según los criterios establecidos por Muzzolini (1995), Sluguilla Lawaj se encabalca entre la escuela de Tazina y la Bubalina Naturalista, quedando más próxima la primera. El hecho es que al comparar las representaciones con otros yacimientos de la dicha escuela notamos que cada uno tiene un “aire” característico, particular. Hasta el punto que gracias a la magnitud del arte del Lawaj-el-Tel·li se podría llegar a establecer diferentes estilos dentro de la misma escuela. El problema principal es cuando a esos estilos se les atribuye un valor cronológico, y por lo tanto pueden influir el estudio del yacimiento. Por otra parte las superposiciones son escasas y a la vez muy confusas [11].

En ese sentido nos parece más importante clasificar los yacimientos a partir de las representaciones más emblemáticas, y no por su estilo. Por ejemplo, la importancia de los zeppelines. Una figura fácilmente identificable, con morfologías distintas, pero que se localiza en muchas zonas saharianas. Tal como apunta Masy (1998) este puede ser un marcador cultural claro.

En el caso de Sluguilla Lawaj hay algunos datos importantes que no pueden pasar por alto. La extraordinaria dureza de las rocas dificulta mucho la realización de cualquier grabado. Esto nos dice que los artistas prehistóricos invirtieron mucho tiempo en su decoración, mostrándonos la importancia que el arte tenia para esas sociedades, seguramente cazadoras-recolectoras.

A partir de los zoomorfos clasificados vemos que el ecosistema era más rico de lo que aparenta en la actualidad, probablemente no faltaba el agua. Con todo, echamos de menos algunas especies que son habituales en esos ecosistemas. La pregunta es clara, porqué solamente grababan esos animales?

BIBLIOGRAFÍA

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[1] Territorio controlado por el Frente Polisario.

[2] Los primeros investigadores creyeron que se trataba del nacimiento de la Saguia el Hamra.

[3] Meseta de origen terciario donde las condiciones climáticas y ecológicas son extremadamente duras.

[4] Misión Internacional de las Naciones Unidas para el Referéndum del Sahara Occidental

[5] República Árabe Saharaui Democrática.

[6] Sluguillas son menos abundantes, pero debido a la mayor importancia, los saharauis les han dado nombre. En los 35km de yacimiento conocemos tres sluguillas.

[7] Uadi Djerat (Lhote, 1975); provincia del sur de Oran (Lhote, 1970); grabados del Aïr (Lhote, 1972).

[8] Algunas rocas documentadas en los primeros años (1995-96), sobretodo las más próximas a la pista, no hemos vuelto a localizarlas.

[9] Obviamente no conocía las de Sluguilla Lawaj.

[10] Consejo Superior de Investigaciones Científicas.

[11] En la Roca F15 (fig. 7) hemos establecido 6 superposiciones, pero no responden a ninguna lógica. ¿Es posible pensar en reactualizaciones de los grabados? o se trata de la dificultad para pulir el trazo?

diumenge, de setembre 16, 2007

El Sàhara a la Festa de L'HUMANITÉ (Paris, del 14 al 16 de Setembre)


És una bona notícia que la causa sahrauí estigui present als debats polítics francesos i en aquest cas en una festa de la importància i la solera de L'HUMANITÉ. Potser vol dir que les reivindicacions dels sahrauís es comencen a tenir presents en un país, moltes vegades poc receptiu, a la visió dels sahrauís. Cal celebrar-ho i continuar treballant. Adjunto el programa, els ponents i la notícia que també publica SPS, en francès



Sahara libre
« Sahara-Occidental : situation dans les territoires occupés, droits de l’homme, autodétermination. »16/09/2007 : 18 h 30

Avec
- Aline Pailler, journaliste,
- Ennaâma Asfari, juriste, défenseur des droits de l’homme dans les territoires occupés,
- Abdelmoumem Chbari, responsable des relations extérieures de La Voie démocratique,
- Lahcen Moutik, universitaire, défenseur sahraoui des droits humains,
- France Weyl, avocate, observateur aux procès des militants sahraouis dans les territoires occupés.

Paris, 16/09/2007 (SPS) La question du Sahara Occidental occupé et l’art contemporain africain sont à l’honneur cette année à la traditionnelle "Fête de l’Humanité", organisée par le journal français L’Humanité, a rapporté l’Agence de presse algérienne, APS.

La situation au Sahara Occidental fera, samedi en début de soirée, l’objet d’un débat particulier avec l’apport de plusieurs associations, dont les Amis de la RASD (AA-RASD), le Comité pour le respect des libertés et des droits humains au Sahara Occidental (CORELSO), et celle des Familles des Prisonniers et disparus sahraouis (AFAPREDESA).

L’Association d’amitié et de solidarité avec les peuples d’Afrique (AFSPA), dont le dernier numéro de sa revue +Aujourd’hui l’Afrique+ porte le titre "En Afrique et en France, nouer des résistances au grand retour du colonial", participera aussi au débat.

"Sahara Occidental : Situation dans les territoires occupés par le Maroc, droits de l’Homme, Autodétermination" est le thème de ce débat auquel participeront aussi des juristes et des défenseurs des droits humains français et sahraouis, dont l’avocate France Weyl, qui a assisté à de nombreux procès politiques de militants sahraouis dans les territoires occupés.

Sur le plan africain, les oeuvres de vingt-trois artistes rendent compte de la grande diversité de l’art contemporain africain. Le directeur de l’Humanité, Patrick le Hyaric, a souligné que cette exposition spécial Afrique "pense et aide à penser autrement" de manière à "sortir d’une vision paternaliste imposée de l’extérieur."

Autour de l’exposition, les commentaires convergent sur le fait qu’elle permet "la découverte d’une réalité de la création africaine aujourd’hui, en rupture avec les clichés simplificateurs et, au fond, néocolonialistes".

"La méconnaissance en Occident et en France de l’art africain actuel est patente et peu de galeries s’y intéressent", relèvent-ils, notant que "l’art africain exprime souvent avec force les réalités du continent".

Les organisateurs de l’exposition exhortent les "artistes, hommes et femmes d’Afrique et du monde, à être à leurs "plumes, pinceaux tambours et balafons parce que créer rime plus que jamais avec résister et exister".

La "Fête de L'Humanité", qui se poursuivra jusqu’à dimanche à la Courneuve, en région parisienne, est selon les commentateurs politiques "l’occasion pour la gauche française divisée de se retrouver après la défaite de la dernière présidentielle". (SPS)

divendres, de setembre 14, 2007

dimarts, de setembre 11, 2007

11 de setembre de 2007 -. ofrena floral BCN



Penjo aquesta gravació, obra de l'amic RAÜL CARRETERO que reflecteixen diversos moments de l'ofrena floral de l'11 de setembre.

Moltes gràcies RAÜL

SÀHARA LLIURE
CATALUNYA LLIURE

HMADA I

TRAB EL BIDAN, Premio Blog Solidario

Gràcies als companys de SAHARA RESISTE, puc dir que he rebut un premi, el PREMIO BLOG SOLIDARIO, que s'atorga per altres companys de la xarxa a qui considerin mereixedors d'aquest premi.

Es un gran honor poder rebre'l i més venint de qui ve, però és un premi que he de compartir a les quasi 42000 entrades que he tingut tot aquest temps en el que he anat escrivint i per tant és un premi que cal compartir amb totes aquelles persones que creuen en la solidaritat amb el poble sahrauí.

A més, és un premi més important quan veus que el comparteixes amb el POEMARIO en un moment en que ens parla de la visita de Sultana Jaya a Suècia, amb UN TROÇET DEL MEU SAHARA el blog de la meva amiga i companya de Girona, na Txell. Així com també amb GENERACIÓN DE LA AMISTAD SAHARAUI, el blog dels amics poetes sahrauís que viuen a Espanya i que tants bons moments m'han fet passar al llegir-los.

TRAB EL BIDAN, també comparteix aquest honor amb els amics d'Àvila, les Balears , i amb SAHABLOGS, el planeta de blogs sobre el Sàhara Occidental

Es poden tenir millors companys de viatge? Be, segur que em posen molt difícil tenir que escollir a qui passar el tertimoni ...

dilluns, de setembre 10, 2007

10è Aniversari de l'agermanament entre GIRONA i FARSIA. Programa

Us adjunto el programa sencer dels actes del 10è aniversari de l'agermanament entre Girona i Farsia (Campaments Sahrauís de Tindouf).
El programa en si, com la sèrie d'actes que hi podeu trobar són d'un gran interès per a tots i totes els que estem lligats al moviment solidari.
És molt important la participació de tots nosaltres.

Ah! si cliqueu sobre les imatges, aquestes es faran més grans i podreu llegir-ne el contingut.

Espero que us agradi